AprĂšsle divorce de ses parents lorsqu'il a 10 ans, Guy de Maupassant rentre Ă  Dieppe avec sa mĂšre. Une jeune morte rĂ©apparait dans un chĂąteau gardĂ© par un Ă©trange jardinier. RĂ©sumĂ© de BibliocollĂšge - Le Horla et six contes fantastiques, Guy de Maupassant Un ĂȘtre invisible hante un personnage qui ne peut lui Ă©chapper.
ExpĂ©diĂ© sous 5 jours Livraison Ă  partir de 0,01€ dĂšs 35€ d'achats Pour une livraison en France mĂ©tropolitaine QUANTITÉ RĂ©sumĂ© Le Maupassant des grands jours, des histoires assez lestes qui, dans la veine de Boule de suif, Ă©voquent des paysans trousseurs de filles, de plantureuses noces normandes, des quincailliers de province que le dĂ©mon de midi pousse Ă  d'infructueuses tentatives de viol dans des compartiments de chemins de fer. Mais aussi "La Peur", "La Folle", le Maupassant qui en quelques pages touche le fond du coeur humain dans ce qu'il a de plus pitoyable ou cruel. Il n'est guĂšre de portraits de la haine comparables Ă  celui qui, dans "Saint-Antoine", oppose un soldat allemand et un fermier du pays de Caux, et "La Rempailleuse" est peut-ĂȘtre la plus belle histoire d'amour que Maupassant ait jamais Ă©crite. L'auteur - Guy de Maupassant Guy de Maupassant 1850-1893 est un Ă©crivain français qui a marquĂ© la littĂ©rature par ses romans - Une Vie, Bel ami, etc. -, mais surtout par ses nouvelles, notamment Boule de Suif ou Le Horla. Ces oeuvres retiennent l'attention par leur force rĂ©aliste, la prĂ©sence importante du fantastique et par la maĂźtrise stylistique. La carriĂšre littĂ©raire de Maupassant se limite Ă  une dĂ©cennie - de 1880 Ă  1890 - avant qu'il ne sombre peu Ă  peu dans la folie et ne meure Ă  43 ans. Autres livres de Guy de Maupassant CaractĂ©ristiques techniques PAPIER Éditeurs Gallimard Auteurs Guy de Maupassant Collection Folio - Classique Parution 05/06/2015 Nb. de pages 240 Format 11 x Couverture BrochĂ© Poids 144g EAN13 9782070466672 Avantages Livraison Ă  partir de 0,01 € en France mĂ©tropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles RĂ©sumĂ© L'auteur CaractĂ©ristiques techniques Nos clients ont Ă©galement achetĂ© Ledocteur HĂ©raclius Gloss - Les dimanches d’un bourgeois de Paris - Boule de suif - La maison Tellier - Mademoiselle Fifi - Contes de la bĂ©casse - Clair de lune - Miss Harriet - Le pĂšre Millon - Les soeurs Rondoli - Yvette - Toine - Contes du jour et de la nuit - Monsieur Parent - La petite Roque - Le Horla - Le rosier de Madame Husson - La main gauche - L'inutile beautĂ© - Nouvelles Le jeune Candide, dont le nom traduit Ă  la fois la naĂŻvetĂ© et la crĂ©dulitĂ© vit dans le "meilleur des mondes possibles" chez son oncle, le baron de naturel, Candide mĂšne une existence heureuse dans cet univers idyllique Le baron et la baronne de Thunder-ten-Tronckh possĂšdent en effet "le plus beau des chĂąteaux". Candide est Ă©bloui par la puissance de son oncle, et par les sophismes lĂ©nifiants du docteur Pangloss, le prĂ©cepteur. Il admire Ă©galement CunĂ©gonde, la fille du baron. Tout bascule le jour des premiers Ă©bats de Candide et de CunĂ©gonde. La rĂ©action du baron est brutale, Candide est banni et chassĂ© de cet Eden. Il se retrouve dans "le vaste monde".Candide est pris dans une tempĂȘte de neige et connaĂźt la faim et le froid. Il est enrĂŽlĂ© de force comme soldat de l'armĂ©e bulgare. I prend la fuite. CapturĂ©, il est condamnĂ© Ă  recevoir quatre mille coups de bĂąton. Il Ă©chappe de justesse Ă  la mort. Il assiste alors Ă  la guerre et Ă  ses massacres c'est "une boucherie hĂ©roĂŻque". Candide dĂ©serte et fuit jusqu'en Hollande. Il y dĂ©couvre l'intolĂ©rance, et notamment l'hypocrisie sectaire d'un prĂ©dicateur huguenot. Il retrouve Pangloss rongĂ© par la vĂ©role. Son ancien prĂ©cepteur a des allures de gueux. Il lui apprend que le beau chĂąteau du baron Thunder-ten-Tronckh a Ă©tĂ© dĂ©truit et que CunĂ©gonde a Ă©tĂ© violĂ©e et Ă©ventrĂ©e par les soldats bulgares. L'armĂ©e bulgare a Ă©galement tuĂ© le baron, la baronne et leur fils. Candide et Pangloss sont recueillis et embauchĂ©s par Jacques, un bon anabaptiste qui les emmĂšne au Portugal oĂč le rĂ©clame son commerce. HĂ©las, au large de Lisbonne, leur navire connaĂźt une horrible tempĂȘte. Le bateau du gĂ©nĂ©reux nĂ©gociant est englouti et ce dernier pĂ©rit dans le naufrage. Candide et Pangloss en rĂ©chappent par miracle. DĂšs leur arrivĂ©e Ă  Lisbonne, se produit un Ă©pouvantable tremblement de terre. Candide et Pangloss participent eux opĂ©rations de sauvetage, mais nos deux hĂ©ros sont arrĂȘtĂ©s pour propos subversifs et dĂ©fĂ©rĂ©s Ă  l'Inquisition. Pangloss est pendu et Candide flagellĂ©. Une vieille dame le soigne et le mĂšne de nuit dans une maison isolĂ©e. Il est prĂ©sentĂ© Ă  une superbe femme CunĂ©gonde. Elle lui confirme qu'elle a Ă©tĂ© violĂ©e et Ă©ventrĂ©e, et que c'est par miracle qu'elle est encore en vie "on ne meurt pas toujours de ces deux accidents". CunĂ©gonde est devenue Ă  la fois la maĂźtresse de Don Issachar, un banquier juif et du grand inquisiteur de Lisbonne. MenacĂ© par ses deux rivaux, "le doux Candide", parvient Ă  les tuer. Candide, CunĂ©gonde et la vieille dame s'enfuient alors en direction de Cadix. Ils arrivent Ă  Cadix au moment oĂč un bateau s'apprĂȘte Ă  partir en AmĂ©rique latine. Son Ă©quipage est chargĂ© d'aller y combattre la rĂ©bellion qui rĂšgne contre les rois d'Espagne et du Portugal. Candide parvient Ă  se faire engager. Il embarque avec CunĂ©gonde, la vieille dame et deux valets. Lors de la traversĂ©e, la vieille dame raconte son aventure. Fille d'un pape et d'une princesse, elle a grandi " en beautĂ©, en grĂąces, en talents, au milieu des plaisirs, des respects et des espĂ©rances..." Puis elle a connu une suite Ă©pouvantable de malheurs l'empoisonnement de son fiancĂ©, l'enlĂšvement de sa mĂšre, sa vente Ă  des marchands d'esclaves. Elle s'est retrouvĂ©e prisonniĂšre dans un fort, puis elle est devenue l'esclave d'un seigneur moscovite qui l'a batttue. Elle finira par devenir la servante de Don Issachar qui la met Ă  disposition de CunĂ©gonde Ă  qui elle se Ă  ce rĂ©cit, la vieille dame demande aux autres passagers de raconter leur histoire. Les rĂ©cits s'enchaĂźnent, plus noirs les uns que les autres. Candide commence Ă  prendre conscience que le mal existe sur cette peine arrivĂ©s Ă  Buenos Aires, Candide et CunĂ©gonde sont Ă  nouveau sĂ©parĂ©s. La vielle dame conseille en effet Ă  CunĂ©gonde de rester auprĂšs du gouverneur qui s'est Ă©pris d'elle et Ă  Candide de fuir l'Inquisition qui a retrouvĂ© sa trace. Candide part avec son valet Cacambo se rĂ©fugier chez les jĂ©suites du Paraguay. Ils y retrouvent le frĂšre de CunĂ©gonde, lui aussi miraculeusement rescapĂ©. Le baron Ă©voque son miracle Alors qu'on allait l'enterrer, le battement de sa paupiĂšre l'a sauvĂ©. On l'a soignĂ© et guĂ©ri. Sa beautĂ©, fort apprĂ©ciĂ©e, lui a valu une grande fortune. Mais le jeune baron refuse qu'un bĂątard puisse Ă©pouser sa sƓur et frappe Candide du plat de son Ă©pĂ©e. Celui-ci se dĂ©fend et le tue d'un coup d' et Cacambo reprennent la fuite et se retrouvent dans un pays inconnu. Il sont faits prisonniers par les indigĂšnes et sont Ă  deux doigts d'ĂȘtre mangĂ©s. Ils ne doivent leur salut qu'Ă  la verve et Ă  l'habiletĂ© de Cacambo. Ils sont se dirigent alors vers Cayenne, Ă  la recherche de la colonie française. Ils souffrent de la faim. Un jour, ils dĂ©couvrent un canot sur une riviĂšre. Ils montent Ă  bord et se laissent porter par le courant. Le canot emprunte une voĂ»te secrĂšte. Candide et Cacambo se retrouvent sous terre, dans une magnifique contrĂ©e, l'Eldorado, "le pays oĂč tout va bien" un pays oĂč les repas sont dĂ©licieux, les mƓurs pacifiques, la population heureuse , la religion tolĂ©rante et le souverain humaniste. Mais nos hĂ©ros sont trop vaniteux pour se satisfaire de cet univers idĂ©al. Ils souhaitent revenir en Europe avec l'espoir d'Ă©blouir CunĂ©gonde et le monde entier de leur rĂ©cit et de leur richesse. Le souverain du royaume en effet les laisse partir avec cent moutons chargĂ©s de nourriture, de pierres prĂ©cieuses et d'or. Il les met aussi en garde le bonheur ne se trouve ni dans les pierres prĂ©cieuses ni dans l' et Cacambo retrouvent le monde. Pendant plus de trois mois, ils marchent dans les marais, les dĂ©serts et au bord des prĂ©cipices. Leurs moutons meurent les uns aprĂšs les autres. Lorsqu'ils arrivent Ă  Surinam, ils n'ont plus que deux moutons. Ils rencontrent alors un esclave noir atrocement mutilĂ©. Ceci rĂ©volte Candide et l'amĂšne Ă  donner une autre dĂ©finition de l'optimisme " la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal".Nos deux hĂ©ros se sĂ©parent Candide envoie Cacambo racheter CunĂ©gonde au gouverneur de Buenos Aires , tandis qu'il ira l'attendre Ă  Venise. Mais Candide se fait duper et voler par un marchand qui lui prend ses deux derniers moutons et s'embarque pour Venise sans l'attendre. Il parvient finalement Ă  trouver un vaisseau en partance pour Bordeaux et s'embarque en compagnie d'un pauvre savant persĂ©cutĂ© Ă  qui il paye son voyage. Il a l'espoir que ce compagnon puisse le "dĂ©sennuyer" durant le le bateau qui les emmĂšne Ă  Bordeaux Candide et Martin, le savant discutent du bien et du mal et de la nature de l'homme. Martin lui indique qu'il est convaincu de la prĂ©dominance du Mal sur le Bien . Et comme pour illustrer son propos, ils assistent un combat entre un navire espagnol et un vaisseau hollandais . Ce dernier coule et une centaine d'hommes se noient. Ce combat est pour Martin l'illustration des rapports humains de la façon dont " les hommes se traitent les uns les autres."AprĂšs son arrivĂ©e Ă  Bordeaux, Candide prĂ©fĂšre se rendre Ă  Paris qu'Ă  Venise. Il n'y connaĂźt qu'amertume et dĂ©ception un abbĂ© retors et de fausses marquises et une fausse CunĂ©gonde qui se rĂ©vĂšlent ĂȘtre de vraies voleuses . Il se fait mĂȘme injustement arrĂȘter et ne parvient Ă  s'enfuir qu'en soudoyant un officier de embarque alors en compagnie de Martin pour l'Angleterre. Il assiste Ă  l'exĂ©cution d'un amiral condamnĂ© pour " n'avoir pas fait tuer assez de monde." Finalement, il refuse de dĂ©barquer en Angleterre et demande au capitaine du bateau de l'emmener directement Ă  Venise, il ne retrouve ni Cacambo, ni CunĂ©gonde mais tombe sur Paquette, l'ancienne suivante de la Baronne de Thunder-ten-Tronckh. Elle vit en compagnie d'un moine, GiroflĂ©e. Ses confidences et celles du moine font apparaĂźtre Ă  Candide des misĂšres cachĂ©es. Candide dĂ©cide alors de rendre visite au seigneur Pococurante qui a la rĂ©putation de n'avoir jamais eu de jeune hĂ©ros s'Ă©merveille de l'univers et de la personnalitĂ© de son hĂŽte. Pourtant celui-ci Ă©voque a demi-mot le dĂ©goĂ»t et la lassitude du blasĂ©. Candide ressort pourtant de cet entretien avec l'impression que le seigneur Pococurante est "le plus heureux de tous les hommes", car affranchi des biens matĂ©riels. Martin, lui, est plus pessimiste, il estime que ce seigneur est Ă©cƓurĂ© de tout ce qu'il milieu d'un souper de carnaval, alors que Candide dĂźne avec six malheureux anciens rois qui ont perdu leur royaume, il retrouve Cacambo qui est devenu esclave. Il lui apprend que CunĂ©gonde l'attend sur les bords de la Propontide, prĂšs de Constantinople. Elle aussi est devenue esclave et est devenue trĂšs laide. Candide se rend Ă  Constantinople . Sur la galĂšre, il croit reconnaĂźtre parmi les galĂ©riens le docteur Pangloss et le jeune baron tous deux mal tuĂ©s. Il les rachĂšte au capitaine du deux anciens galĂ©riens racontent leurs aventures, mais le rĂ©cit de leur malheurs ne perturbe pas Candide qui est toujours convaincu que " tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes."Candide retrouve CunĂ©gonde, et il est saisi d'horreur Ă  la vue de cette femme hideuse et dĂ©figurĂ©e. Il la rachĂšte ainsi que la vieille femme. Il ne l'aime plus, mais l'Ă©pouse " par bontĂ©" malgrĂ© le refus rĂ©pĂ©tĂ© de son se dĂ©barrasse du jeune baron en le renvoyant aux galĂšres . il achĂšte avec ses derniers diamants une modeste mĂ©tairie oĂč viennent se rĂ©fugier Paquette , le frĂšre GiroflĂ©e, Pangloss, Martin, CunĂ©gonde et Candide. Un sage vieillard leur conseille le travail qui "Ă©loigne de nous trois grand maux, l'ennui , le vice et le besoin".Candide en arrive Ă  cette conclusion qui recueille l'assentiment de tous ses compagnons " il faut cultiver son jardin."Quelques Citations de CandidePangloss enseignait la mĂ©taphysico-thĂ©ologo-cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le chĂąteau de monseigneur le baron Ă©tait le plus beau des chĂąteaux et madame la meilleure des baronnes possibles. Les malheurs particuliers font le bien gĂ©nĂ©ral; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers et plus tout est bien. Tout est bien, tout va bien, tout va le mieux qu'il soit possible Je n'ai que vingt arpents, rĂ©pondit le Turc ; je les cultive avec mes enfants ; le travail Ă©loigne de nous trois grands maux l'ennui, le vice, et le besoin. " Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c'est le seul moyen de rendre la vie supportable. Toute la petite sociĂ©tĂ© entra dans ce louable dessein ; chacun se mit Ă  exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. CunĂ©gonde Ă©tait Ă  la vĂ©ritĂ© bien laide ; mais elle devint une excellente pĂątissiĂšre ; Paquette broda; la vieille eut soin du linge. Il n'y eut pas jusqu'Ă  frĂšre GiroflĂ©e qui ne rendĂźt service ; il fut un trĂšs bon menuisier, et mĂȘme devint honnĂȘte homme ; et Pangloss disait quelquefois Ă  Candide " Tous les Ă©vĂ©nements sont enchaĂźnĂ©s dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n'aviez pas Ă©tĂ© chassĂ© d'un beau chĂąteau Ă  grands coups de pied dans le derriĂšre pour l'amour de Mlle CunĂ©gonde, si vous n'aviez pas Ă©tĂ© mis Ă  l'Inquisition, si vous n'aviez pas couru l'AmĂ©rique Ă  pied, si vous n'aviez pas donnĂ© un bon coup d'Ă©pĂ©e au baron, si vous n'aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d'Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cĂ©drats confits et des pistaches. - Cela est bien dit, rĂ©pondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin
Livreen français Résumé Chaque année, à l'automne, le baron des Ravots reçoit ses amis. Aux journées de chasse succÚdent les dßners, couronnés par la traditionnelle cérémonie du "conte de la Bécasse".
François Rabelais, Gargantua Roman Prologue L’auteur explique les intentions de son rĂ©cit le divertissement du lecteur et le sens philosophique qu’il devra dĂ©couvrir. A l’instar de Socratedont la laideur physique masquait une trĂšs grande intelligence, Rabelais dissimule la sagesse de son rĂ©cit derriĂšre l’extravagance de l’intrigue. Chapitres I- II Evocation de la gĂ©nĂ©alogie desgĂ©ants, dĂ©jĂ  prĂ©sentĂ©e dans Pantagruel. L’auteur nous prĂ©sente un texte les Fanfreluches antidotĂ©es, un recueil de vers insensĂ©s, incomprĂ©hensibles. Chapitre III La grossesse de Gargamelle,la mĂšre de Gargantua dure 11 mois. Chapitres IV- V- VI- VII Les parents du gĂ©ant plaisantent sur le thĂšme de la nourriture. Gargamelle se goinfre de tripes quand elle accouche par l’oreilledroite. DĂšs ses premiĂšres heures le nourrisson rĂ©clame Ă  boire. C’est en l’honneur de son grand gosier qu’on le nomme Gargantua. Chapitres VIII- IX- X Description des vĂȘtements du gĂ©ant. Selon latradition on attribue au nouveau nĂ© des couleurs. Gargantua reçoit le bleu et le blanc, symboles de la joie cĂ©leste. Le narrateur critique le bien fondĂ© de la symbolique des couleurs. Chapitre XIRĂ©cit de l’enfance de Gargantua qui se divertit par des activitĂ©s aussi hĂ©tĂ©roclites qu’absurdes. Chapitre XII Episode des chevaux de bois on offre Ă  Gargantua des chevaux de bois afin qu’ildevienne bon cavalier. Chapitre XIII Gargantua invente le torchecul
 le plus agrĂ©able de tous Ă©tant un oison duveteux. Devant l’ingĂ©niositĂ© de son fils, Grandgousier dĂ©cide de l’ XIV Pour son instruction on lui assigne le thĂ©ologien Thubal Holoferne. Chapitre XV La famille est déçue des piĂštres rĂ©sultats du gĂ©ant. Grandgousier congĂ©die l’instructeur et dĂ©cided’envoyer Gargantua Ă  Paris oĂč il sera Ă©duquĂ© par Ponocrates. Chapitre XVI Gargantua, en chemin vers Paris, chevauche une jument gĂ©ante qui dĂ©truit sur son passage toute une forĂȘt. Chapitre

Liéà Gustave Flaubert et Ă  Émile Zola, il a marquĂ© la littĂ©rature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulĂ©es contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bĂ©casse en 1883 ou le Horla en 1887.
caillou9507 Nouveau membre 1 16 Janvier 2009 1 salut enfaite pendant les vacances de noĂ«l j'ai eu un livre a lire et je ne lĂ© pas lu donc evidament au contrĂŽle de lecture je me suis taper une bĂąche et j'ai Ă©tĂ© coller et en punition rĂ©sumĂ© les 6 chapitre 1 par 1 si vous conĂ©sĂ© un site ou il y a des rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre le livre c'est "le bal" de IrĂšne NĂ©mirovsky merci 23 FĂ©vrier 2009 2 on est deux!!! moi aussi jdoi lire et faire les rĂ©sumĂ©s aidez nous svp cest grave important!!!!!! 22 Novembre 2009 3 On est trois !! J'ariiv pas mllx-Pauliine Nouveau membre 4 9 DĂ©cembre 2009 4 pffff on est 4 moi aussi jdois faire un rĂ©sumĂ© du livre "le bal" !!! 5 9 DĂ©cembre 2009 5 Bonsoir, C'est un excellent livre, il ne fait que 120/130 pages...ça se lit facilement...vous ĂȘtes graves quand mĂȘme, alors achetez-le et lisez-le ! 15 FĂ©vrier 2010 6 Non mais Murotor tu crois que tu aides les pauvres Ă©lĂšves en dĂ©tresse comme ça? Remarque, je suis dans la mĂȘme situation que vous, les gars. Mais je dois lire le Bonheur des dames moi. -__- 14 Avril 2011 7 je vous rejoins les gars !! moi aussi je dois faire un rĂ©sumĂ© sur "au onheur des dames" mais sĂ©rieusement les profs il n'ont rien a foutre de nos rĂ©sumĂ© ! en plus eux ils ont dĂ©ja lul'histoire alors pourqoi demandĂ© a de pauvres eleves de faire ses rĂ©sumĂ© !!? 8 17 Avril 2011 8 Salut, Nan mais franchement achetez les et lisez les ces livres!!! Vous savez, c'est inoffensif un livre... 17 Octobre 2011 10 Moi je dois le lire pour dans 3 heure et ma mĂšre a appeler partout ou elle pouvais librairie,biblothĂšque grande surfacce... il ne l'on plus nul part il me faudrai un site avec rĂ©sume dĂ©tailĂ© svp dite le moi!! 11 17 Octobre 2011 11 Moi je dois le lire pour dans 3 heure et ma mĂšre a appeler partout ou elle pouvais librairie,biblothĂšque grande surfacce... il ne l'on plus nul part il me faudrai un site avec rĂ©sume dĂ©tailĂ© svp dite le moi!! Pour dans 3 heures ? Ma question est "Depuis combien de temps tu sais que tu dois le lire ?" Depuis un mois, ptĂȘtre mĂȘme deux... et tu t'y prends 3 heures avant, en plus en embarquant ta mĂšre dans l'histoire parce que tu es pas capable d'acheter et de lire un libre tout seul ? Bein c'est du propre. 30 Octobre 2011 12 on est sinq moi je doi lire vipere au poing ya 25 chapitre mai bon je suis en 3ieme donc voila mai sest pa une raison sa me soule sa me pourri les vacances Bon souhaitons nous bonne chance mdr quand je lit un livre je suis comme sa mdr je capte rien 30 Octobre 2011 13 sest pa tres intelligente mai bon apres sest ton problemeheink 2 Mai 2012 14 Bonjour, j'ai le livre "Les MisĂ©rables" de Victor Hugo en version abrĂ©gĂ© Ă  lire, il fait 305 pages. Je l'ai commencer mais je ne comprend absolument pas l'histoire, les Ă©vĂšnements s'enchaine bizarrement et j'ai l'impression de perdre le fil ... j'aimerais trouver les rĂ©sumĂ©s de tout les chapitres pour que je comprenne mieux ... aider moi svp s merci d'avance 2 Mai 2012 15 Bonjour, j'ai le livre "Les MisĂ©rables" de Victor Hugo en version abrĂ©gĂ© Ă  lire, il fait 305 pages. Je l'ai commencer mais je ne comprend absolument pas l'histoire, les Ă©vĂšnements s'enchaine bizarrement et j'ai l'impression de perdre le fil ... j'aimerais trouver les rĂ©sumĂ©s de tout les chapitres pour que je comprenne mieux ... aider moi svp s merci d'avance j'ai un contrĂŽle demain dessus svp aider moi >< 17 Octobre 2012 16 Naminea Bonjour, j'ai le livre "Les MisĂ©rables" de Victor Hugo en version abrĂ©gĂ© Ă  lire, il fait 305 pages. Je l'ai commencer mais je ne comprend absolument pas l'histoire, les Ă©vĂšnements s'enchaine bizarrement et j'ai l'impression de perdre le fil ... j'aimerais trouver les rĂ©sumĂ©s de tout les chapitres pour que je comprenne mieux ... aider moi svp s merci d'avance J'ai lue moi aussi les misĂ©rables de Victor Hugo . Ce n'est pas compliquĂ© il faut juste ce concentrĂ© . En effet les Ă©vĂ©nement s'enchaĂźne vite , mais ce n'est pas une raison pour arrĂȘter de lire. Surtout que ce livre est juste merveilleux. 4 Janvier 2013 17 mllx-Pauliine pffff on est 4 moi aussi jdois faire un rĂ©sumĂ© du livre "le bal" !!! Moi j'ai pus resume 3livres chapitre par chapitre et oui la L quand on aime pas lire c impardonnable sur tu creer ton compte et tu cherche ya pas tout mais ya des classiques du genre don juan, fahrenheit 451, l'etranger et qq autres Manon15975 Nouveau membre 18 14 Mars 2013 19 Bonjour Ă  tous , Vous ĂȘtes bien gentil de vous "clasher" pour un livre non lus ils font ce qu'ils veulent ensuite les insultes sur un forum troll c'est pitoyable mais bon on s'y fais Ă  la longue Aller bonne lecture Ă  ceux qui lisent bien que se ne soit pas super utile si on aime pas lire ^^" Mais stop toutes vos histoires pour n'imp il demande de l'aide ne l'envoyer pas bouler si vous pouvez l'aider ... Enfin je dis ça j'dis rien Ps je ne lis pas mes livre non plus oĂč alors pas entiĂšrement Bonne lecture Ă  ce qui vont lire 3 20 15 Mars 2013 20 Je vais placer un contrepoint lire des choses un peu complexes ou Ă©laborĂ©es permet de se familiariser avec sa propre langue. Ce faisant, on se l'approprie et on arrive ensuite Ă  exprimer soi-mĂȘme des choses plus complexes ou nuancĂ©es. Par exemple, Chuck, ton Ă©crit est tellement "cohĂ©rent" que si je devais le rĂ©sumer, j'en arriverais Ă  ton "Enfin je dis ça j'dis rien". Apprendre Ă  aimer lire, c'est apprendre Ă  s'exprimer, voir mĂȘme apprendre Ă  apprendre. C'est "super utile" quand on souhaite Ă©voluer. Il y a bien certaines pĂ©riodes de sa vie pendant lesquelles on n'en a rien Ă  battre. Mais le plus souvent, quelques annĂ©es aprĂšs, on se retourne sur le chemin que l'on n'a pas rĂ©ussi Ă  parcourir et on se dit "mince ! J'aurais pourtant pu...". Et comme on dit en pĂ©riodes Ă©lectorales ou contestataires "Allez ! Lisez !".
LaRiviĂšre Ă  l'envers de Jean-Claude Mourlevat (Analyse de l'oeuvre): RĂ©sumĂ© complet et analyse dĂ©taillĂ©e de l'oeuvre (Fiche de lecture) Jeremy Lambert. ActivitĂ©s d'Ă©criture. Une aventure oĂč les Ă©lĂšves se plongent avec dĂ©lice. Les 10km de la Riviera, Villeneuve (Vaud) (Villeneuve, Vaud). RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles chapitres par chapitres RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles chapitre 1 Ă  chapitre 12Ű§ŰłÙÙ„ Ű§Ù„Ù…ÙˆŰ¶ÙˆŰč ŰȘŰŹŰŻÙˆÙ† ÙÙŠŰŻÙŠÙˆ ŰŽŰ§Ù…Ù„ مŰč Ű·Ű±ÙŠÙ‚Ű© Ű§Ù„Ű§ŰŹŰ§ŰšŰ© Űčلى Ű§Ù„Ű§ŰłŰŠÙ„Ű© في Ű§Ù„Ű§Ù…ŰȘŰ­Ű§Ù† Ű§Ù„ŰŹÙ‡ÙˆÙŠ RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles RĂ©sumĂ© de la Boite Ă  Merveilles chapitre par chapitre RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles Chapitre 1 Le narrateur adulte, minĂ© par la solitude commence son rĂ©cit pour mieux comprendre sa solitude qui date depuis toujours. Il prĂ©sente ensuite les locataires de Dar chouafa lalla kenza la voyante au rez-de-chaussĂ©e, Driss el Aouad , sa femme Rahma et leur fille zineb au premier Ă©tage et fatma Bziouya au deuxiĂšme Ă©tage.Il Ă©voque le souvenir du bain maure et de sa Boite Ă  Merveilles oĂč les objets qui s'y trouvent lui tiennent compagnie . Puis, il relate le souvenir d'une dispute entre sa mĂšre et Rahma . RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles Chapitre 1 RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles Chapitre 2 En revenant du m'sid , le narrateur trouve sa mĂšre souffrante.. Lalla Aicha son amie, vient lui rendre visite et rĂ©ussit Ă  la convaincre de rendre visite Ă  Sidi la fin de cette visite, sidi Mohamed est griffĂ© par un chat. FatiguĂ© , le petit enfant ne va pas au m'sid et nous dĂ©crit les matinĂ©es Ă  la maison tout en Ă©voquant l'origine de ses parents, et le souvenir de Driss le teigneux, l'apprenti de son pĂšre. RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles Chapitre 3 Le narrateur raconte sa journĂ©e au Msid . le soir, remarquant que Fatima Bziouiya s'Ă©claire avec une lampe Ă  pĂ©trole, Lalla Zoubida insiste pour que son mari lui en achete une, ce qui est fait le lendemain. Ensuite, Il Ă©voque le souvenir de la disparition de zineb, et comment sa mĂšre rĂ©ussit Ă  la retrouver Ă  la maison des Idrissides. Rahma, en guise de louange Ă  Dieu, prĂ©pare un repas pour les mendiants. Toutes les voisines y participent de bon cƓur. RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles Chapitre 4 Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite Ă  lalla Aicha. Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer avec les enfants des voisins . Lalla Aicha raconte ensuite Ă  son amie les malheurs de son mari avec son associĂ© Abdelkader. Le lendemain, La mĂšre rapporte ce rĂ©cit malheureux Ă  son mari. Celui-ci va Ă©voquer devant le petit sidi Mohamed le souvenir d'Abdellah l'Ă©picier qui racontait des histoires. La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 5 Un mercredi, le Fquih explique Ă  ses Ă©lĂšves ses projets pour Achoura. A la maison, Lalla Zoubida ne se fatigue pas Ă  raconter les malheurs de Lalla Aicha Ă  Fatima, puis Ă  Rahma leur faisant promettre de garder le secret. Ensuite, le narrateur relate le souvenir de la mort de Sidi Md Ben Tahar. Ayant assistĂ© Ă  la scĂšne, le petit enfant fait un cauchemar la nuit. RĂ©sumĂ© de la boĂźte Ă  merveilles Chapitre 6 Pendant les prĂ©paratifs pour Achoura au Msid, le fquih organise le travail et forme des Ă©quipes. Le petit Sidi Mohamed est nommĂ© chef des frotteurs .Le matin suivant, il accompagne sa mĂšre Ă  la kissaria pour acheter un nouveau gilet. De retour chez lui, sidi Mohamed se dispute avec Zineb. Sa mĂšre se met en colĂšre. Triste et pris de faim,, le petit enfant plonge dans ses rĂȘveries. Le narrateur nous rapporte ensuite l'histoire de Lalla khadija et son mari l'oncle Othman racontĂ©e aux voisines par Rahma. La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 7 la veille de l'Achoura, les femmes s'achĂštent des tambours et Sidi Mohamed une trompette. Il participe au Msid aux prĂ©paratifs de la fĂȘte. Le lendemain , il accompagne son pĂšre chez le coiffeur oĂč il Ă©coute sans interĂȘt les conversations des adultes. Le jour de l'achoura, le petit enfant se rĂ©veille tĂŽt et met ses vĂȘtements neufs avant d'aller au m'sid cĂ©lĂ©brer cette journĂ©e exceptionnelle.. AprĂšs le repas, Lalla Aicha vient rendre visite Ă  la famille du narrateur. La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 8 AprĂšs l'Achoura, la vie retrouve sa monotonie. Mais avec les premiers jours de chaleur, la mĂšre dĂ©clare la guerre aux punaises. Un jour, le pĂšre du narrateur dĂ©cide d'emmener sa femme et son fils au souk des bijoux pour acheter des bracelets . AccompagnĂ©e de Fatma Bziouya, la famille du narrateur arrive au souk des bijoutiers mais le pĂšre se trouve le visage tout en sang aprĂšs une bagarre avec un courtier. Lalla Zoubida,superstitieuse, ne veut plus ces bracelets, elle pense qu'ils portent malheur. La mĂšre raconte Ă  lalla Aicha la mĂ©saventure du souk. Sidi Mohamed tombe malade. La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 9 Le pĂšre a perdu tout son capital. Il dĂ©cide de vendre les bracelets et d'aller travailler aux environ de FĂšs. Sidi Mohamed souffre toujours de fiĂšvre. Le dĂ©part du pĂšre est vĂ©u comme un grand drame . Un jour, la mĂšre rend visite Ă  son amie Lalla Aicha qui lui propose d'aller consulter un devin Si elArafi . La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 10 le narrateur Ă©voque le souvenir du voyant Si Elarafi. Lalla Zoubida rentre chez elle tout en gardant le secret de la visite... elle dĂ©cide de garder son enfant Ă  la maison et de l'emmener chaque semaine faire la visite d'un marabout. Un matin elle reçoit la visite d'un envoyĂ© de son mari. Lalla Aicha vient prie son amie de lui rendre visite le lendemain parce qu'elle a des choses Ă  lui raconter. La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 11 Chez Lalla Aicha, les femmes discutent. Elle reçoit la visite de Salama, qui raconte son rĂŽle dans le mariage de Si Larbi avec la fille du coiffeur et les problĂšmes du nouveau couple.. La boĂźte Ă  merveilles Chapitre 12 Le narrateur dans ce dernier chapitre raconte le retour de son pĂšre. Sidi Mohamed raconte Ă  son pĂšre les Ă©vĂ©nements passĂ©s pendant son absence. Le pĂšre du narrateur apprend que s'est sĂ©parĂ© avec sa jeune Ă©pouse.. Sidi Mohamed, toujours aussi solitaire qu'au dĂ©but et aussi rĂȘveur, sort sa boite Ă  merveilles et se laisse bercer par ses rĂȘves... Ù…Ù„ŰźŰ” La BoĂźte Ă  Merveilles ۧ۳ŰȘŰčۯۧۯۧ Ù„Ù„Ű§Ù…ŰȘŰ­Ű§Ù† Ű§Ù„ŰŹÙ‡ÙˆÙŠ 2020 ŰŽŰ§Ù‡ŰŻ Ű§ÙŠŰ¶Ű§
Ilentre dans l’administration d’abord Ă  la Marine, puis Ă  L’instruction Publique. En 1880, Flaubert pousse Maupassant Ă  publier. Ce seront un recueil de poĂšmes et six nouvelles, dont « Boule de Suif «. Le succĂšs est grand et il devient cĂ©lĂšbre. Mais Ă  la mort de Flaubert en juin 1880 il ralentit dans son travail.
Louisbaaptiste Nouveau membre 1 6 AoĂ»t 2014 1 Je dois faire un rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre du livre la vague , quelqu'un aurais un citĂ© pour voir un rĂ©sumer de chaque chapitre du livre la vague svp 2 3 6 AoĂ»t 2014 3 Ou alors, tu lis le bouquin. En plus La Vague ? Si on parle bien du mĂȘme bouquin, c'est absolument gĂ©nial ! Sans ironie pour une fois Alors lis, ca t'apprendra des choses plutĂŽt que de rendre un travail dont tu ne connais mĂȘme pas le fondement. Ah lalalala... 18 AoĂ»t 2014 4 vu ton orthographe il serait bĂ©nĂ©fique que tu le lise quand mĂȘme ton livre !
Afinde préparer les oeuvres au programme en français (1re) et en lettres (Terminale), cette collection propose une étude complÚte de chaque oeuvre qui permet d'aller à l'essentiel. Vous y trouverez : - des résumés et des commentaires pour chaque chapitre ou chaque scÚne ; - une étude de texte et des sujets d'entretien pour préparer l'oral ; - l'analyse des personnages et des
AUX CHAMPS À Octave Mirbeau. Les deux chaumiĂšres Ă©taient cĂŽte Ă  cĂŽte, au pied d’une colline, proches d’une petite ville de bains. Les deux paysans besognaient dur sur la terre infĂ©conde pour Ă©lever tous leurs petits. Chaque mĂ©nage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux aĂźnĂ©s avaient six ans et les deux cadets quinze mois environ ; les mariages et, ensuite les naissances, s’étaient produites Ă  peu prĂšs simultanĂ©ment dans l’une et l’autre maison. Les deux mĂšres distinguaient Ă  peine leurs produits dans le tas ; et les deux pĂšres confondaient tout Ă  fait. Les huit noms dansaient dans leur tĂȘte, se mĂȘlaient sans cesse ; et, quand il fallait en appeler un, les hommes souvent en criaient trois avant d’arriver au vĂ©ritable. La premiĂšre des deux demeures, en venant de la station d’eaux de Rolleport, Ă©tait occupĂ©e par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avaient une fille et trois garçons. Tout cela vivait pĂ©niblement de soupe, de pommes de terre et de grand air. À sept heures, le matin, puis Ă  midi, puis Ă  six heures, le soir, les mĂ©nagĂšres rĂ©unissaient leurs mioches pour donner la pĂątĂ©e, comme des gardeurs d’oies assemblent leurs bĂȘtes. Les enfants Ă©taient assis, par rang d’ñge, devant la table en bois, vernie par cinquante ans d’usage. Le dernier moutard avait Ă  peine la bouche au niveau de la planche. On posait devant eux l’assiette creuse pleine de pain molli dans l’eau oĂč avaient cuit les pommes de terre, un demi-chou et trois oignons ; et toute la ligne mangeait jusqu’à plus faim. La mĂšre empĂątait elle-mĂȘme le petit. Un peu de viande au pot-au-feu, le dimanche, Ă©tait une fĂȘte pour tous ; et le pĂšre, ce jour-lĂ , s’attardait au repas en rĂ©pĂ©tant Je m’y ferais bien tous les jours. » Par un aprĂšs-midi du mois d’aoĂ»t, une lĂ©gĂšre voiture s’arrĂȘta brusquement devant les deux chaumiĂšres, et une jeune femme, qui conduisait elle-mĂȘme, dit au monsieur assis Ă  cĂŽtĂ© d’elle — Oh ! regarde, Henri, ce tas d’enfants ! Sont-ils jolis, comme ça, Ă  grouiller dans la poussiĂšre ! L’homme ne rĂ©pondit rien, accoutumĂ© Ă  ces admirations qui Ă©taient une douleur et presque un reproche pour lui. La jeune femme reprit — Il faut que je les embrasse ! Oh ! comme je voudrais en avoir un, celui-lĂ , le tout petit. Et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants, prit un des deux derniers, celui des Tuvache, et, l’enlevant dans ses bras, elle le baisa passionnĂ©ment sur ses joues sales, sur ses cheveux blonds frisĂ©s et pommadĂ©s de terre, sur ses menottes qu’il agitait pour se dĂ©barrasser des caresses ennuyeuses. Puis elle remonta dans sa voiture et partit au grand trot. Mais elle revint la semaine suivante, s’assit elle-mĂȘme par terre, prit le moutard dans ses bras, le bourra de gĂąteaux, donna des bonbons Ă  tous les autres ; et joua avec eux comme une gamine, tandis que son mari attendait patiemment dans sa frĂȘle voiture. Elle revint encore, fit connaissance avec les parents, reparut tous les jours, les poches pleines de friandises et de sous. Elle s’appelait Mme Henri d’HubiĂšres. Un matin, en arrivant, son mari descendit avec elle ; et, sans s’arrĂȘter aux mioches, qui la connaissaient bien maintenant, elle pĂ©nĂ©tra dans la demeure des paysans. Ils Ă©taient lĂ , en train de fendre du bois pour la soupe ; ils se redressĂšrent tout surpris, donnĂšrent des chaises et attendirent. Alors la jeune femme, d’une voix entrecoupĂ©e, tremblante, commença — Mes braves gens, je viens vous trouver parce que je voudrais bien
 je voudrais bien emmener avec moi votre
 votre petit garçon
 Les campagnards, stupĂ©faits et sans idĂ©e, ne rĂ©pondirent pas. Elle reprit haleine et continua. — Nous n’avons pas d’enfants ; nous sommes seuls, mon mari et moi
 Nous le garderions
 voulez-vous ? La paysanne commençait Ă  comprendre. Elle demanda — Vous voulez nous prend’e Charlot ? Ah ben non, pour sĂ»r. Alors M. d’HubiĂšres intervint — Ma femme s’est mal expliquĂ©e. Nous voulons l’adopter, mais il reviendra vous voir. S’il tourne bien, comme tout porte Ă  le croire, il sera notre hĂ©ritier. Si nous avions, par hasard, des enfants, il partagerait Ă©galement avec eux. Mais, s’il ne rĂ©pondait pas Ă  nos soins, nous lui donnerions, Ă  sa majoritĂ©, une somme de vingt mille francs, qui sera immĂ©diatement dĂ©posĂ©e en son nom chez un notaire. Et, comme on a aussi pensĂ© Ă  vous, on vous servira jusqu’à votre mort, une rente de cent francs par mois. Avez-vous bien compris ? La fermiĂšre s’était levĂ©e, toute furieuse. — Vous voulez que j’vous vendions Charlot ? Ah ! mais non ; c’est pas des choses qu’on d’mande Ă  une mĂšre, çà ! Ah ! mais non ! Ce s’rait une abomination. L’homme ne disait rien, grave et rĂ©flĂ©chi ; mais il approuvait sa femme d’un mouvement continu de la tĂȘte. Mme d’HubiĂšres, Ă©perdue, se mit Ă  pleurer, et, se tournant vers son mari, avec une voix pleine de sanglots, une voix d’enfant dont tous les dĂ©sirs ordinaires sont satisfaits, elle balbutia — Ils ne veulent pas, Henri, ils ne veulent pas ! Alors, ils firent une derniĂšre tentative. — Mais, mes amis, songez Ă  l’avenir de votre enfant, Ă  son bonheur, à
 La paysanne, exaspĂ©rĂ©e, lui coupa la parole — C’est tout vu, c’est tout entendu, c’est tout rĂ©flĂ©chi
 Allez-vous-en, et pi, que j’vous revoie point par ici. C’est i permis d’vouloir prendre un Ă©fant comme ça ! Alors, Mme d’HubiĂšres, en sortant, s’avisa qu’ils Ă©taient deux tout petits, et elle demanda, Ă  travers ses larmes, avec une tĂ©nacitĂ© de femme volontaire et gĂątĂ©e, qui ne veut jamais attendre — Mais l’autre petit n’est pas Ă  vous ? Le pĂšre Tuvache rĂ©pondit — Non, c’est aux voisins ; vous pouvez y aller, si vous voulez. Et il rentra dans sa maison, oĂč retentissait la voix indignĂ©e de sa femme. Les Vallin Ă©taient Ă  table, en train de manger avec lenteur des tranches de pain qu’ils frottaient parcimonieusement avec un peu de beurre piquĂ© au couteau, dans une assiette entre eux deux. M. d’HubiĂšres recommença ses propositions, mais avec plus d’insinuations, de prĂ©cautions oratoires, d’astuce. Les deux ruraux hochaient la tĂȘte en signe de refus ; mais, quand ils apprirent qu’ils auraient cent francs par mois, ils se considĂ©rĂšrent, se consultant de l’Ɠil, trĂšs Ă©branlĂ©s. Ils gardĂšrent longtemps le silence, torturĂ©s, hĂ©sitants. La femme enfin demanda — QuĂ© qu’t’en dis, l’homme ? Il prononça d’un ton sentencieux — J’dis qu’c’est point mĂ©prisable. Alors Mme d’HubiĂšres, qui tremblait d’angoisse, leur parla de l’avenir du petit, de son bonheur, et de tout l’argent qu’il pourrait leur donner plus tard. Le paysan demanda — C’te rente de douze cents francs, ce s’ra promis d’vant l’notaire ? M. d’HubiĂšres rĂ©pondit — Mais certainement, dĂšs demain. La fermiĂšre, qui mĂ©ditait, reprit — Cent francs par mois, c’est point suffisant pour nous priver du p’tit ; ça travaillera dans quĂ©qu’z’ans ct’éfant ; i nous faut cent vingt francs. Mme d’HubiĂšres, trĂ©pignant d’impatience, les accorda tout de suite ; et, comme elle voulait enlever l’enfant, elle donna cent francs en cadeau pendant que son mari faisait un Ă©crit. Le maire, et un voisin, appelĂ©s aussitĂŽt, servirent de tĂ©moins complaisants. Et la jeune femme, radieuse, emporta le marmot hurlant, comme on emporte un bibelot dĂ©sirĂ© d’un magasin. Les Tuvache, sur leur porte, le regardaient partir, muets, sĂ©vĂšres, regrettant peut-ĂȘtre leur refus. On n’entendit plus du tout parler du petit Jean Vallin. Les parents, chaque mois, allaient toucher leurs cent vingt francs chez le notaire ; et ils Ă©taient fĂąchĂ©s avec leurs voisins parce que la mĂšre Tuvache les agonisait d’ignominies, rĂ©pĂ©tant sans cesse de porte en porte qu’il fallait ĂȘtre dĂ©naturĂ© pour vendre son enfant, que c’était une horreur, une saletĂ©, une corromperie. Et parfois elle prenait en ses bras son Charlot avec ostentation, lui criant, comme s’il eĂ»t compris — J’t’ai pas vendu, mĂ©, j’t’ai pas vendu, mon p’tiot. J’vends pas m’s Ă©fants, mĂ©. J’sieus pas riche, mais vends pas m’s Ă©fants. Et, pendant des annĂ©es et encore des annĂ©es, ce fut ainsi chaque jour ; chaque jour des allusions grossiĂšres Ă©taient vocifĂ©rĂ©es devant la porte, de façon Ă  entrer dans la maison voisine. La mĂšre Tuvache avait fini par se croire supĂ©rieure Ă  toute la contrĂ©e parce qu’elle n’avait pas vendu Charlot. Et ceux qui parlaient d’elle disaient — J’sais ben que c’était engageant, c’est Ă©gal, elle s’a conduite comme une bonne mĂšre. On la citait ; et Charlot, qui prenait dix-huit ans, Ă©levĂ© avec cette idĂ©e qu’on lui rĂ©pĂ©tait sans rĂ©pit, se jugeait lui-mĂȘme supĂ©rieur Ă  ses camarades parce qu’on ne l’avait pas vendu. Les Vallin vivotaient Ă  leur aise, grĂące Ă  la pension. La fureur inapaisable des Tuvache, restĂ©s misĂ©rables, venait de lĂ . Leur fils aĂźnĂ© partit au service. Le second mourut ; Charlot resta seul Ă  peiner avec le vieux pĂšre pour nourrir la mĂšre et deux autres sƓurs cadettes qu’il avait. Il prenait vingt et un ans, quand, un matin, une brillante voiture s’arrĂȘta devant les deux chaumiĂšres. Un jeune monsieur, avec une chaĂźne de montre en or, descendit, donnant la main Ă  une vieille dame en cheveux blancs. La vieille dame lui dit — C’est lĂ , mon enfant, Ă  la seconde maison. Et il entra comme chez lui dans la masure des Vallin. La vieille mĂšre lavait ses tabliers ; le pĂšre infirme sommeillait prĂšs de l’ñtre. Tous deux levĂšrent la tĂȘte, et le jeune homme dit — Bonjour, papa ; bonjour, maman. Ils se dressĂšrent, effarĂ©s. La paysanne laissa tomber d’émoi son savon dans son eau et balbutia — C’est-i tĂ©, m’n Ă©fant ? C’est-i tĂ©, m’n Ă©fant ? Il la prit dans ses bras et l’embrassa, en rĂ©pĂ©tant — Bonjour, maman. » Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de son ton calme qu’il ne perdait jamais — Te v’lĂ -t-il revenu, Jean ? » Comme s’il l’avait vu un mois auparavant. Et, quand ils se furent reconnus, les parents voulurent tout de suite sortir le fieu dans le pays pour le montrer. On le conduisit chez le maire, chez l’adjoint, chez le curĂ©, chez l’instituteur. Charlot, debout sur le seuil de sa chaumiĂšre, le regardait passer. Le soir, au souper, il dit aux vieux — Faut-il qu’vous ayez Ă©tĂ© sots pour laisser prendre le p’tit aux Vallin. Sa mĂšre rĂ©pondit obstinĂ©ment — J’voulions point vendre not’ Ă©fant. Le pĂšre ne disait rien. Le fils reprit — C’est-il pas malheureux d’ĂȘtre sacrifiĂ© comme ça. Alors le pĂšre Tuvache articula d’un ton colĂ©reux — Vas-tu pas nous r’procher d’t’avoir gardĂ©. Et le jeune homme, brutalement — Oui, j’vous le r’proche, que vous n’ĂȘtes que des niants. Des parents comme vous ça fait l’malheur des Ă©fants. Qu’vous mĂ©riteriez que j’vous quitte. La bonne femme pleurait dans son assiette. Elle gĂ©mit tout en avalant des cuillerĂ©es de soupe dont elle rĂ©pandait la moitiĂ© — Tuez-vous donc pour Ă©lever d’s Ă©fants ! Alors le gars, rudement — J’aimerais mieux n’ĂȘtre point nĂ© que d’ĂȘtre c’que j’suis. Quand j’ai vu l’autre, tantĂŽt, mon sang n’a fait qu’un tour. Je m’suis dit — v’lĂ  c’que j’serais maintenant. Il se leva. — Tenez, j’sens bien que je ferai mieux de n’ pas rester ici, parce que j’ vous le reprocherais du matin au soir, et que j’ vous ferais une vie d’ misĂšre. Ça, voyez-vous, j’ vous l’ pardonnerai jamais ! Les deux vieux se taisaient, atterrĂ©s, larmoyants. Il reprit — Non, c’t’ idĂ©e-lĂ , ce serait trop dur. J’aime mieux m’en aller chercher ma vie aut’ part. Il ouvrit la porte. Un bruit de voix entra. Les Vallin festoyaient avec l’enfant revenu. Alors Charlot tapa du pied et, se tournant vers ses parents, cria — Manants, va ! Et il disparut dans la nuit.
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  • contes de la bĂ©casse rĂ©sumĂ© de chaque chapitre